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Politiques de l'emploi et de la formation - Article - Mardi, 04 Mars - 09:20
Il est vrai qu’à la sortie de l’école penser à suivre une formation est loin d’être une priorité. Toutefois, l’étude menée par Universum démontre que les jeunes français ne considèrent pas la possibilité de suivre une formation comme un critère important dans le choix de leur future entreprise. En effet, cette étude démontre que les entreprises idéalisées par les jeunes à l’université ou à l’école comme les multinationales ne sont pas des entreprises très formatrices.
L’attractivité des grandes entreprises sur les jeunes diplômés
L’attrait exercé par les grandes entreprises sur les jeunes étudiants est bien connu. Aussi le résultat de l’étude menée par la société Universum n’est pas surprenant. LVMH, Google, L’Oréal, Apple ou encore EADS voici les entreprises qui font le plus rêver les étudiants.
Ces multinationales sont souvent vues comme des entreprises où il fait bon travailler malgré la pression. Elles sont également connues pour leurs infrastructures à la disposition des salariés (crèches, salles de sport, épiceries ouvertes tard…). Toutes ces raisons expliquent pourquoi les 34 000 étudiants sondés ont en majorité désigné ces entreprises comme étant leurs favorites.
Des entreprises qui ne font partie des plus formatrices
De nombreuses études se sont attardées sur la question des politiques de formation en fonction de la taille de l’entreprise. Toutes sont parvenues à la conclusion suivante : plus une entreprise est grande et plus les programmes de formation sont importants. Toutefois, il est a noté que les entreprises plébiscitées par les jeunes ne font pas parties des meilleures élèves en matière de formation.
Si Google fait partie des entreprises les plus citées, cette multinationale ne brille pas par sa politique de formation. Cette étude met avant l’attrait des jeunes pour les grandes entreprises dans lesquelles ils estiment une évolution possible. Toutefois, elle fait également apparaître le manque d’intérêt des jeunes diplômés pour la formation professionnelle. Ainsi, la possibilité de pouvoir entreprendre une formation n’est pas un critère de choix pour ces jeunes personnes.
Cette étude a été réalisée entre décembre 2012 et février 2013 parmi les étudiants de 102 grandes écoles de commerces et d’ingénieurs et 17 universités.
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